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Seconde/seconde/, à ne surtout pas prendre au premier degré

Il aime la montre pour son ambivalence, à la fois amulette intime, mais aussi badge social. Il n’est pas designer, mais mène une petite rébellion esthétique sur les cadrans. Il se vante en disant qu’il a eu un article dans GQ, mais revendique ses échecs et son statut de second. Et même s’il est pessimiste de nature, il cartonne. Rencontre avec Romaric André, fondateur du label seconde/seconde/, un créatif à ne pas toujours prendre au pied de la lettre. Si vous êtes un habitué du microcosme de la mesure du temps, vous avez certainement déjà dû apercevoir ses actes de vandalisme horloger. Il s’immisce dans le cadran d’une montre, vintage (souvent, mais pas que) et tr . . . Abonnez-vous à la Gold'Or pour continuer

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